Il y a déjà plusieurs mois trois ans (trois ans !!), j’avais écris un billet d’humeur à propos tout le foin que l’on faisait sur les pré-processeurs CSS et leur utilisation que je trouvais abusive.

À l’époque je n’avais testé que LESS, que je trouvais beaucoup plus accessible, moins compliqué à mettre en place en fait. J’avais aussi acheté le bouquin de Kaelig, CSS maintenables, que je n’ai d’ailleurs toujours pas commencé, trop occupé à lire Cinquantes nuances de Grey et autres Walking DeadContinue reading

Lorsque je conçois les sites Web de nos clients, une fois mon travail terminé, je le met en ligne sur un domaine temporaire afin que le client puisse voir, utiliser et surtout alimenter le site Web en contenu avant de l’installer sur son domaine définitif.

Une fois le client satisfait, il nous donne le « Go » pour la mise en ligne, nous transférons alors les fichiers et la base de données sur le domaine final. Parfois, les URLs générées dans le contenu des pages sont erronées suite au transfert sur le domaine définitif, et bien entendu les liens foirent… En PHP, on pourrait faire un bête str_replace(), ou un preg_match_all(). Mais en MySQL ? C’est là que la requête qui suit va nous sauver :

UPDATE pages SET contenu = REPLACE(contenu, 'http://ancienne.url', 'http://nouvelle.url') WHERE contenu LIKE '%ancienne.url%';

C’est bidon, mais j’ai toujours du mal à m’en souvenir. Le publier ici me permettra de retrouver ça facilement. Après tout, ce blog est avant tout pour moi et si ça peut aider quelqu’un d’autre… 

Il y a maintenant presque 3 ans, j’entrais dans la vie active, j’avais un peu « d’expérience » en intégration HTML/CSS et pour gagner du temps j’utilisais le fameux framework CSS 960.gs. Pourquoi était-ce une mauvaise idée ?

Utiliser un framework ne fait absolument pas gagner de temps. En tout cas, de mon point de vue. J’ai passé beaucoup trop de temps à me battre avec les classes prédéfinies lorsque mes designs ne « rentraient » pas dans le moule des 960 pixels.

Franchement, j’ai été con de ne pas avoir le déclic plus tôt. D’autant qu’on commençait à parler de Responsive Web Design à l’époque, j’aurai du voir venir le truc.

C’est vrai, je ne suis pas encore trop rodé en RWD, mais quitter ce framework a fait le plus grand bien à mes CSS, surtout après être tombé sur la grille de mise en page d’Elliot Jay Stocks. Depuis, j’ai adapté sa dizaine de lignes à ma façon de travailler. Je m’autorise même parfois à ne pas du tout utiliser de grille de mise en page.

En tout cas, ces 12 derniers mois m’ont permis de m’améliorer en CSS.

Lorsque j’ai acheté le domaine chierchia.fr pour y transférer le blog il y a trois mois, je m’étais dit que ça serait une bonne occasion de repartir à zéro et d’écrire plus. Pas forcement des billets longs ou même très techniques, mais toujours en suivant un peu l’actualité, les nouveautés du Web. Faire ma veille, quoi.

Le fait est que ces trois derniers mois, j’ai pour ainsi dire étais totalement déconnecté. Entre l’emménagement dans mon nouvel appartement (et tout ce que cela implique : peintures, tapisseries, pas de connexion Internet, etc.), un projet qui a pris une énorme partie de mon temps au boulot ces derniers mois, quelques histoires de coeur compliquées  et un ras-le-bol général qui dure déjà depuis quelques mois, j’ai eu très peu de moments à consacrer à ma veille Web et mon blog (sur lequel il reste finalement pas mal de travail à faire…).

En 2012, j’avais dans l’idée de proposer des templates HTML5/CSS3 gratuits. C’était en février dernier. Je n’en ai fait qu’un seul, que je n’ai même pas distribué… Pour 2013, je ne ferai donc aucune promesse. Vous ne verrez pas ces templates gratuits disponibles en téléchargement cette année. Je n’écrirai pas un billet par semaine sur ce blog. Je ne me marierai pas avec Olivia Wilde. Sauf si un miracle survient.

Malgré ça, je vous souhaite une belle première année après la fin du monde.

Oui, il parait qu’on peut souhaiter la bonne année tout le mois de janvier. Ce que je trouve vraiment con, au passage.

Tchô !

Ayant récemment changé de domaine et l’architecture de mes URLs, il y a encore pas mal de soucis, notamment les images qui ne s’affichent plus, les liens morts vers les démos des tutos… Bref, encore pas mal de boulot avant que la migration vers chierchia.fr soit totale. Et puis je me disais que peut-être serait-il temps de me mettre à GitHub et autres outils de « social coding », genre CodePen, JSFiddle, etc. Et puis, en cas de nouvelle migration/changement d’URLs, ceux-ci ne seraient pas impacté au final.

Avant-hier je suis tombé sur un article d’Aarron Walter sur le blog de MailChimp expliquant comment ils avaient réussi à réduire significativement le taux d’échec  lors de la connexion de leurs utilisateurs. Aaron explique que même en ayant ajouté des boutons de connexion via Twitter et Facebook, le taux d’échec à la connexion n’avait pas vraiment bougé. C’est lorsqu’ils ont retravaillé leur messages d’erreurs (mauvais login/mauvais mot de passe) qu’il on vu une nette amélioration.

Il conclu en nous disant, en gros, qu’intégrer des boutons de connexion social c’est un peu le mal, parce que le service que l’on propose à nos utilisateurs et finalement dépendant de Facebook ou Twitter et que le mieux est de fournir un formulaire de connexion maison en béton. Continue reading

Il y a de cela 4 ans j’ai commencé à écrire sur ce blog. Et puis à l’été 2009 je me suis déclaré comme auto-entrepreneur, ayant le besoin de travailler et donc rester actif pendant ma recherche de premier emploi.

J’ai donc voulu séparer le blog et mon identité professionnel. Je trouvais l’idée plutôt bonne. Seulement voilà : après avoir décroché cet emploi, je n’ai plus vraiment eu le temps (la motivation ? les deux ?) de faire tourner mon auto-entreprise. Travailler en « freelance », sans avoir eu la moindre expérience du monde du travail, ça n’était peut-être pas la meilleure idée que j’ai eu. Bref.

Maintenant, j’ai arrêté cette activité annexe et je me demandais si cela avait encore du sens de séparer mon blog de ma vitrine professionnelle, d’autant que les deux sont liés l’un avec l’autre. Et puis, hier, déclic ! OVH, chez qui sont hébergés mes différents sites Web, m’envoi sa newsletter « Pour un .fr acheté, le .com à 3€ ! » Et là, ni une ni deux, j’me dis qu’il faut que j’en profite, je réserve donc chierchia.fr et chierchia.com (désolé aux Chierchia qui auraient souhaité utiliser leur nom de famille comme domaine. Premier arrivé… ) .

Maintenant, j’ai une idée plutôt assez précise de ce que je veux en faire, bien que je ne sois pas encore tout à fait fixé sur les URLs que je souhaite mettre en place.

Est-ce que j’utilise un sous-domaine ange.chierchia.fr afin d’introduire mon prénom dans l’URL de ma « plateforme » ? Est-ce que je fais le choix, comme Raphaël Goetter, de n’utiliser simplement que mon nom ? Est-ce que je privilégie le .fr ou le .com ?

Quelle serait d’après vous la meilleure solution en terme de référencement ?

Ces derniers mois on parle constamment de pré-processeur CSS tel que LESS ou SASS, en nous disant que ces pré-processeurs révolutionnent l’écriture de nos feuilles de styles. D’accord, mais comment ? Et pourquoi devrait-on les utiliser au détriment de nos bonnes vieilles CSS « de base » ?

Ça n’engage que moi, mais je ne vois pas, à l’heure actuelle, ce que pourrait m’apporter de tels outils. D’accord, on a la possibilité de créer des semblants de fonctions afin d’éviter de  répéter 1000 fois une propriété CSS3 qui n’est pas nativement interprétée par tous les navigateurs.

Mais franchement, en 2012 a-t-on vraiment envie de s’embêter avec les IE 6-8 et autres navigateurs d’anciennes générations ? Et puis même, il y a de très bons outils qui font ça pour nous, si vraiment on veut s’embêter—notamment Prefix free de Lea Verou ou encore Prefixr.

Là où je vois l’intérêt d’un tel outil, c’est pour une famille de sites—du style du réseau Tut+—lorsque le design reste le même et que seul le code couleur change. Ça leur permet effectivement de gagner un temps fou. Je ne sais pas pour vous, mais chaque site Web que je conçois a une « mise en page » qui lui est propre. Mais même ici, si vous avez l’éditeur de texte qui va bien, un simple « chercher/remplacer » fera très bien le boulot.

Bref. En écrivant ce petit billet, j’attends surtout vos avis sur de tels outils. Dans quelle mesure utilisez vous un pré-processeur CSS ? N’avez vous pas peur d’oublier comment écrire de vraies CSS avec ces nouvelles syntaxes, à l’instar de jQuery pour le JavaScript ?