Je suis longtemps passé à côté du Shadow DOM. Trop abstrait, trop “spec moderne” pour mes besoins du quotidien.
Mais cet article m’a recadré.
Il explique comment le Shadow DOM te permet d’encapsuler un composant comme un vrai bloc isolé : pas de fuite de styles, pas de conflits de noms, pas de comportements JS qui partent en sucette.
Et ça, dans une époque où chaque lib veut imposer sa logique, ça fait du bien de voir un truc standard qui tient la route.
On n’est pas obligés de tout reconstruire avec Web Components demain matin, mais piger comment le Shadow DOM fonctionne, c’est clairement un level-up pour écrire du code plus robuste — et plus pérenne
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