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  • Astuce Sass : imbrication de propriétés composites

    Cette semaine je lisais Sass pour les Web designers, de Dan Cederholm et j’ai découvert une petite astuce que je ne connaissait pas : l’imbrication de propriétés composites. (suite…)

  • Définir une grille de mise en page avec Sass

    Dans mon précédent article, je parlais de mon expérience des pré-procésseurs CSS, et l’une des choses bêtes que Sass/Compass m’a permis de faire facilement et en quelques lignes a été de définir ma grille de mise en page.

    Ma grille de mise en page consistait en six colonnes et des gouttières de 20 pixels entre chaque et un conteneur de 1000 pixels de large. Afin de toujours me laisser le choix de partir sur un nombre de colonne différent, la largeur de colonne est calculée en fonction des autres variables. Voici ce que ça donne : (suite…)


  • Ajuster text-color en fonction de background avec Sass

    Dans un article de The Sass Way, Sebastian Ekström nous montre comment, avec Sass, garantir la meilleure lisibilité possible à vos textes pour une couleur de fond donnée.

    Pour cela, il écrit une fonction Sass qui retournera une couleur différente en fonction de la couleur qui lui sera passée en paramètre. Cette fonction vérifie tout simplement le taux de luminosité de la couleur qu’elle reçoit et retourne une couleur contrastée en conséquence. Si sa luminosité est supérieure à 50%, la fonction retournera une couleur sombre, sinon une couleur claire.

    Lisez son article sur The Sass Way, pour voir comment il fait ça.  Sa solution est toute simple mais efficace.


  • Pré-processeur CSS : nos feuilles de styles faciles

    Il y a déjà plusieurs mois trois ans (trois ans !!), j’avais écris un billet d’humeur à propos tout le foin que l’on faisait sur les pré-processeurs CSS et leur utilisation que je trouvais abusive.

    À l’époque je n’avais testé que LESS, que je trouvais beaucoup plus accessible, moins compliqué à mettre en place en fait. J’avais aussi acheté le bouquin de Kaelig, CSS maintenables, que je n’ai d’ailleurs toujours pas commencé, trop occupé à lire Cinquantes nuances de Grey et autres Walking Dead(suite…)


  • Quel intérêt à utiliser un pré-processeur CSS ?

    Ces derniers mois on parle constamment de pré-processeur CSS tel que LESS ou SASS, en nous disant que ces pré-processeurs révolutionnent l’écriture de nos feuilles de styles. D’accord, mais comment ? Et pourquoi devrait-on les utiliser au détriment de nos bonnes vieilles CSS « de base » ?

    Ça n’engage que moi, mais je ne vois pas, à l’heure actuelle, ce que pourrait m’apporter de tels outils. D’accord, on a la possibilité de créer des semblants de fonctions afin d’éviter de  répéter 1000 fois une propriété CSS3 qui n’est pas nativement interprétée par tous les navigateurs.

    Mais franchement, en 2012 a-t-on vraiment envie de s’embêter avec les IE 6-8 et autres navigateurs d’anciennes générations ? Et puis même, il y a de très bons outils qui font ça pour nous, si vraiment on veut s’embêter—notamment Prefix free de Lea Verou ou encore Prefixr.

    Là où je vois l’intérêt d’un tel outil, c’est pour une famille de sites—du style du réseau Tut+—lorsque le design reste le même et que seul le code couleur change. Ça leur permet effectivement de gagner un temps fou. Je ne sais pas pour vous, mais chaque site Web que je conçois a une « mise en page » qui lui est propre. Mais même ici, si vous avez l’éditeur de texte qui va bien, un simple « chercher/remplacer » fera très bien le boulot.

    Bref. En écrivant ce petit billet, j’attends surtout vos avis sur de tels outils. Dans quelle mesure utilisez vous un pré-processeur CSS ? N’avez vous pas peur d’oublier comment écrire de vraies CSS avec ces nouvelles syntaxes, à l’instar de jQuery pour le JavaScript ?