septembre 2025
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samedi 27 septembre 2025 @ 14:45:22
Je viens d’importer mon journal Day One sur mon blog en vibe codant avec ChatGPT. Franchement, ça gère 👌
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No Class
Bookmarked https://aaadaaam.com/notes/no-class/.
Lire ce billet m’a fait sourire. Adam s’est débarrassé des classes CSS pour ne garder que des éléments nus, stylés directement. Brut, sans fioritures. Et franchement… ça marche.
C’est un peu la vibe “fuck it, why not ?” qu’on a tous parfois. Ce moment où tu décides que les conventions, les guidelines, les “meilleures pratiques” peuvent bien aller se rhabiller, parce que t’as envie de coder léger.
Je ne suis pas sûr que ça scale sur un projet d’équipe (ou sur un site qui va vivre plus de deux semaines). Mais pour un blog perso ? Pourquoi pas. C’est comme écrire à la main avec un Bic plutôt qu’un stylo plume : moins classe (haha), mais direct, simple, et finalement très agréable.
Et puis, avouons-le : il y a un petit plaisir coupable à casser les règles. À dire “tant pis, j’ai pas de classes, et alors ?” 🤷♂️
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UnSassing my CSS – CSS imports
J’avais déjà commenté son article précédent sur la désintox de Sass, et voilà la suite logique : gérer ses CSS imports proprement. J’aime bien sa façon de montrer qu’on peut revenir à des solutions simples, natives, sans forcément réinventer la roue. Ce n’est pas un manifeste contre Sass, c’est plutôt une mise en avant du côté pratique d’`@import` moderne.
En lisant ça, je me dis que je passe encore trop de temps à sur-ingénier mes setups. Parce que oui, compiler dix fichiers dans un seul, ça paraît bête, mais c’est ce qu’on fait tous les jours. Et c’est rassurant de voir quelqu’un dire “tu peux le faire avec les outils du langage, sans mille dépendances”.
Ce qui me plaît le plus, c’est ce ton tranquille : pas de dogme, pas de “il faut faire comme moi”. Juste : regarde, ça marche, c’est plus simple, tu peux essayer. Et moi je me retrouve à hocher la tête bêtement en me disant : “ok, j’ai compris la leçon, less is more”.
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Anchor Positioning in CSS
Bookmarked The Basics of Anchor Positioning by .
C’est toujours le même problème : t’as besoin de positionner un élément par rapport à un autre… mais ils sont pas dans la même boîte. Résultat : t’injectes du JS, tu bidouilles le DOM, tu fais des hacks moches avec position: absolute.
Et là, paf. Anchor Positioning débarque avec une promesse sexy : tu peux cibler un autre élément comme ancre de positionnement — même s’il est plus haut dans le DOM. anchor() fait le job. position-try() ajoute même une logique de fallback. Et cerise sur le gâteau : pas besoin que ce soit le parent direct.
C’est encore un draft. Mais franchement, vu le nombre de fois où j’ai dû recoder des tooltips, popups ou menus qui s’ouvrent “vers la bonne direction”… j’ai envie d’y croire.
Et c’est typiquement le genre de feature CSS que t’aurais rêvé d’avoir avant : puissante, propre, explicite.
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We accidentally built the wrong internet
Bookmarked We accidentally built the wrong internet.
Je suis tombé sur cet article de Karim Jedda et je suis resté scotché.
Voici le truc : on a construit Internet avec logins par e-mail, mots de passe, et formulaires bancaires archaïques. Tout paraît fragile, intrusif, mal foutu. Mais c’est pas juste technique : c’est un produit de commodité, de paresse collective. Comme si, au lieu de créer un outil simple, sécurisé, privé, on a préféré le moindre effort, ce qui coûte cher à terme.
Ce que je retiens le plus, c’est cette idée géniale que le bon système ne gagne pas parce qu’il est plus intelligent, mais parce qu’il est plus léger. On s’en fout de la tech la plus safe du monde si c’est une galère pour l’utiliser. Le vrai challenge est là : construire des outils qui te laissent maître de ton identité, sans te demander d’être un expert en sécurité ou crypto.
Pas de promo sauvage, pas de jargon de startup. Juste une question qui t’effleure la tête : et si, au lieu de taper des mots de passe, tu validais juste avec un toucher ? Un système où tu paies d’un geste, comme filer du liquide, mais numérique. C’est simple, léger, et puissant. L’idée n’est pas de faire de toi un pro de crypto, juste de rendre le bon choix confortable. Je trouve ça beau, et urgent.
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jeudi 11 septembre 2025 @ 13:47:00
Je fais du CSS depuis 2003 et je découvre seulement que : `.box .child { border-radius: inherit; }` ajoute le border-radius de l’élément parent… On est jamais à l’abris d’une claque dans la tronche ! 🤯
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lundi 08 septembre 2025 @ 20:37:26
On est allé chez Basic-Fit avec ma compagne, on avait les baskets de rechange, les serviettes et le cadenas à code pour le casier. Jusque là pas de soucis, mais au moment de fermer le casier, le code qu’on avait configuré il y’a des années ne fonctionnait plus… Cette vidéo nous a sauvé la mise, sinon on était bon pour racheter un cadenas…
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Setting Line Length in CSS (and Fitting Text to a Container)
On sous-estime la longueur de ligne. Dès que la ligne devient trop longue, l’œil se perd, on relit, on décroche. La règle pratique : rester sous ~80 caractères, idéalement dans la zone 60–70. En CSS, c’est bête comme
max-width: 65ch
sur le bloc de texte. Simple, robuste, lisible.Ensuite, je veux une taille qui s’adapte sans faire le yo-yo :
font-size: clamp(1rem, 1.2vw + 0.2rem, 1.25rem)
. Ça donne une typo fluide, bornée, sans surprise. Et si l’UI est component-driven, j’utilise les unités de requête de conteneur (cqi, cqw) pour que chaque carte garde sa cohérence, indépendamment du viewport.Dernier point : “remplir” un container avec du texte. Il y a plusieurs approches : responsive type avec
clamp()
, requêtes de conteneur pour affiner par composant, et, en dernier recours, un peu de JS si tu dois vraiment auto-ajuster au pixel près (genre titres très courts qui doivent occuper toute la largeur). Le bon choix dépend du contexte, mais la base ne change pas : longueur de ligne confortable d’abord, micro-ajustements ensuite.
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Getting Creative With Images in Long-Form Content
On sous-estime souvent le pouvoir des images dans un texte long. Pas seulement pour “illustrer” une idée, mais pour créer un rythme, installer des respirations, parfois même provoquer une surprise.
Un bloc de texte dense fatigue vite. Le cerveau décroche. Mais si on ose placer une image de travers, en plein milieu, ou dans un format qui casse la ligne, tout change : la lecture se relance, l’œil se réveille. C’est comme une ponctuation visuelle.
Ça demande un peu de culot, et surtout de sortir des habitudes “image centrée, légende en dessous”. Mais c’est là que ça devient intéressant : quand la mise en page raconte autant que le contenu.
Bref, jouer avec les images, c’est jouer avec la perception. Et pour un article long, c’est peut-être le meilleur moyen d’éviter qu’il reste… long.
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Retour sur ces cinq derniers mois
Cinq mois qui sont passés vite. Entre taf, famille, sport un peu bancal et bidouilles perso, ça a bougé dans tous les sens.
(suite…)
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Un-Sass’ing my CSS
Bookmarked Un-Sass’ing my CSS | Always Twisted.
Ça m’a fait sourire. On a tous eu notre période Sass : mixins partout, variables, nesting à outrance. C’était grisant, ça donnait l’impression d’être plus « pro ». Mais le temps passe, le CSS a grandi, et beaucoup de ces artifices ne servent plus à grand-chose.
L’article raconte ce cheminement : désapprendre Sass pour réapprendre le CSS brut. Pas comme une régression, mais comme un gain de clarté. Quand tu enlèves la couche intermédiaire, tu te rends compte que ton code respire mieux, que le navigateur fait déjà pas mal de choses tout seul.
Ça m’a fait réfléchir à ma propre boîte à outils. On accumule, on optimise, on complexifie… et puis un jour on redécouvre que la simplicité, c’est aussi une forme de puissance. Peut-être qu’au fond, le vrai luxe en dev, c’est d’avoir moins à maintenir.
Un rappel utile : parfois, coder mieux, c’est surtout coder moins.